« Un tirage au sort sera organisé pour limiter l’accès à la première année commune aux études de santé (Paces) dans les universités d’Ile-de-France » : par ces lignes, le journal « Le Monde », citant le Service interacadémique d’affectation des étudiants en première année d’études médicales et odontologiques (Sadep), affirmait, dans son édition du 4 mai, que le nombre d’inscrits en première année serait limité par tirage au sort à 7 500 étudiants à la rentrée 2016, contre 8 143 un an plus tôt.
Cette information a fait le buzz hier, jeudi de l’Ascension, avant d’être rapidement démentie par le rectorat de Paris. « Les étudiants franciliens se destinant à la médecine pourront suivre les études de leur choix », assure-t-il, réfutant l’idée d’un tirage au sort. Dans un communiqué, le rectorat précise que, au regard des inscriptions sur APB, le système d’inscription des vœux des lycéens en Admission Post Bac, les universités franciliennes ont établi une répartition des places d’accueil sur la base de 7 500 étudiants. Toutefois, ce nombre pourra évoluer si nécessaire et des ajustements seront opérés en fonction des inscriptions effectives à l’issue des résultats du baccalauréat.
Par ailleurs, le rectorat de Paris rappelle qu’une autre voie, plus marginale, permet aux étudiants de licence, notamment en sciences, d’accéder en médecine par des parcours spécifiques. « Cette voie concernera 10 % des étudiants de médecine et pharmacie dans les universités de Paris-Descartes, Paris-Diderot et Paris 13 », déclarent les services de l’Académie de Paris.
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