Les IPDE5, pris à la demande (à l’exception du vardénafil qui peut être pris en continu à faible dose) représentent (sauf en cas de contre-indication) le traitement de première intention de la dysfonction érectile (efficacité moyenne de l’ordre de 75 à 80 %), tandis que les inducteurs de l’érection trouvent leur emploi en cas de réponse insuffisante ou de contre-indication aux premiers.
Les injections intracaverneuses (qui sont très efficaces) présentent aussi l’avantage d’être remboursables dans certaines indications : paraplégie, tétraplégie, traumatisme du bassin avec troubles urinaires, séquelles de chirurgie (anévrisme de l’aorte, prostatectomie radicale, cystectomie totale, exérèse colorectale) ou de radiothérapie abdomino-pelvienne, séquelles de priapisme, neuropathie diabétique, sclérose en plaques.
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Quelques cas particuliers
Dans quelles situations cliniques ?
Quelques cas particuliers
Vigilance requise
Posologies recommandées et plans de prise
Principaux médicaments
Mécanismes d’action
Cas de comptoir
Les allergies aux pollens
Pharmaco pratique
Les traitements de la sclérose en plaques
Alzheimer : l’immunothérapie ouvre de nouvelles perspectives
Le lecanemab, bientôt commercialisé en France ?