Les antihistaminiques H1 s’opposent à certaines manifestations allergiques.
Les bêtabloquants, les inhibiteurs de l’anhydrase carbonique et les agonistes alpha2-adrénergiques diminuent (par des mécanismes différents) la sécrétion d’humeur aqueuse.
Les prostaglandinomimétiques réduisent la pression en augmentant l’efflux d’humeur aqueuse par voie uvéo-sclérale.
Les parasympathomimétiques (pilocarpine, acéclidine), facilitent l’écoulement de l’humeur aqueuse par le trabéculum puis le canal de Schlemm du fait d’une diminution du diamètre de l’iris.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens inhibent la synthèse de certaines prostaglandines pro-inflammatoires.
Les chromones bloquent la dégranulation des mastocytes.
Les larmes artificielles ou les gouttes/gels lubrifiants suppléent à une insuffisance lacrymale.
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3 questions à…
Françoise Amouroux
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