Dans les départements limitrophes de la capitale, les gardes sont assurées à tour de rôle. En Seine-Saint-Denis, un désaccord persiste entre l’ARS et la préfecture (respectivement en charge de l’ouverture et de la fermeture des officines). La situation paraît bloquée alors que de plus en plus de pharmacies choisissent d’ouvrir le dimanche. Une partie des officines est exonérée de gardes grâce au service continu proposé depuis 16 ans, à Montreuil, par René Maarek. Un service à volets fermés qui va perdurer, indique le titulaire, en dépit du surcoût lié à l’exercice de nuit (stock, salaires, vidéosurveillance). La tranche minuit/7 heures n’est pas rentable, correspondant à moins de 5 % du chiffre d’affaires de l’officine, essentiellement axée sur la vente de médicaments. Une perte compensée par l’intervalle 20 heures/23 heures.
Seine-Saint-Denis : situation bloquée
Publié le 17/02/2011
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2812
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