Parmi les conséquences sanitaires « avérées » du travail de nuit, la dégradation de la qualité et du temps de sommeil, la somnolence et la baisse de vigilance, sont les mieux documentées. La plupart des grandes catastrophes industrielles liées à des erreurs humaines sont d’ailleurs survenues de nuit, à l’image de Bhopal ou de Tchernobyl. En outre, les performances cognitives sont elles aussi affectées, mais d’une manière « probable » et non avérée : il en est de même pour la santé psychique.
Sur le plan métabolique et cardiovasculaire, le lien est « avéré » entre le travail de nuit et le syndrome métabolique, et probable en ce qui concerne l’obésité et le surpoids. Une prévalence accrue des cancers du sein a été mise en évidence, mais avec des éléments de preuve limités. Le diabète de type 2 et les maladies coronariennes pourraient être enfin favorisées par le travail de nuit, de même que l’hypertension artérielle et les accidents vasculaires cérébraux.
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