À la suite de la parution le 6 juillet dernier de l’article « Logiciel permissif, le Conseil d’État recadre les services fiscaux », la Société Winpharma nous demande de publier la précision suivante :
Dans le n° 3193 du Quotidien du Pharmacien du lundi 6 juillet 2015, page 4, a été publié un article intitulé « Logiciel permissif, le Conseil d’État recadre les services fiscaux ». L’article concernait une action devant le Conseil d’État menée par un pharmacien, à la suite d’une procédure d’office diligentée par les services fiscaux à l’encontre de son officine. Le texte de l’article, à plusieurs reprises, faisait la description d’un logiciel de gestion qui s’avérerait « permissif », pour reprendre le terme employé, ce logiciel se trouvant au cœur de la procédure fiscale précitée. En effet, toujours selon les informations diffusées dans cet article, le logiciel en question aurait permis un effacement de ventes « grâce au fameux code d’accès à la fonctionnalité permissive du logiciel ». L’article évoquait ensuite quelque 82 000 ventes dont les enregistrements avaient été « purgés » grâce au progiciel de gestion en novembre, soit deux mois avant la perquisition. Il s’avère que cet article est malencontreusement illustré par une photo de notre logiciel de gestion d’officine Winpharma. Tout lecteur est donc amené à penser que le progiciel de gestion permissif pourrait être Winpharma, préférentiellement à tout autre, puisque celui-ci sert précisément à illustrer les propos de l’article. Nous recevons en effet, depuis la diffusion de cet article, des demandes de nos clients à ce sujet, ceux-ci ayant estimé, à cause de l’illustration en question, que notre logiciel pourrait être celui qui équipait l’officine en question. Winpharma n’est aucunement concerné par les faits, la description de logiciel permissif et la procédure fiscale et judiciaire que votre article relate, la pharmacie en question n’étant pas et n’ayant pas été l’une de nos clientes.
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