Trois types de répondants se dégagent de l’étude.
Les traditionnels sont les seniors, de catégorie socioprofessionnelle intermédiaire, vivant en milieu rural. Ils utilisent peu Internet, estiment que l’information santé sur Internet n’est pas fiable, se considèrent comme peu expert en matière de santé, consomment beaucoup de médicaments mais ne s’automédiquent pas et font toute confiance aux médecins et aux pharmaciens.
Les dilettantes sont des hommes de 25 à 45 ans, habitant dans des villes moyennes, peu sensibles aux informations santé, consommant peu de médicaments mais utilisant beaucoup Internet.
Les santé-addicts, enfin, sont des jeunes femmes urbaines de catégorie socio-professionnelle supérieure, qui font confiance à l’information sur Internet et en parlent avec les professionnels de santé.
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