Alertée du piratage des sites de commerce en ligne de médicaments, la ministre de la Santé rappelle qu’elle a autorisé cette pratique en application d’une directive européenne de 2011 et que, dans ce contexte, elle a choisi d’encadrer, aussi strictement que la réglementation le permettait, ce mode particulier de distribution, pour éviter qu’il ne soit la porte ouverte à la contrefaçon et pour préserver l’accès à un conseil pharmaceutique. Pour Marisol Touraine, l’autorisation des sites par les agences régionales de santé (ARS) et la limitation de la vente aux médicaments soumis à prescription médicale obligatoire, sont autant de conditions strictes garantissant une sécurité optimale pour les acheteurs. Certes, mais ces verrous apparaissent aujourd’hui insuffisants.
Sécurisation des sites : peut mieux faire
Publié le 12/09/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3028
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements
Valorisation et transactions en 2023
La pharmacie, le commerce le plus dynamique de France
Gestion de l’officine
Télédéclarez votre chiffre d’affaires avant le 30 juin