QUOI de plus attendrissant que le portrait photographique de deux visages d’enfants collés joue contre joue ? Pourtant, ces clichés de doubles sourires sont désormais regardés d’un mauvais œil par les parasitologues. Surtout lorsqu’ils ont été réalisés par les modèles eux-mêmes. Comprenez, à bout de bras, sur le mode du selfie. Car la division régionale de l’agence russe Rospotrebnadzor l’assure avec gravité : « La propagation des poux chez les adolescents est causée par l’engouement pour les selfies. » Ces autoportraits pris par smartphone et souvent partagés sur les réseaux sociaux, faciliteraient la transmission des parasites car leurs auteurs font entrer leurs têtes en contact. Ce serait même, affirme l’agence russe, « la principale voie de transmission des poux » parmi les enfants et adolescents. Le pou, ami de la pellicule (numérique) ? La conclusion n’est qu’à un saut de puce...
Une pratique qui favorise la transmission du parasite
Les poux disent merci aux selfies
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Publié le 30/10/2014
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3127
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