Les automates conçus pour les préparations de déconditionnement (PDA) n’ont pas la même implication que les automates de délivrance d’ordonnances. L’implantation est plus simple et les problèmes de connexion moins complexes car il s’agit de gérer un pilulier. « Il n’y a pas de pannes bloquantes régulières ou récurrentes avec les logiciels, tout au plus il peut se produire des décalages qui nécessitent quelques réglages, souligne Jean Baptiste Guillot Directeur général Euraf. Le système étant basé sur la gravité, entre la chute du médicament et la fermeture du sachet, il y a un laps de temps plus ou moins long qu’il convient de bien calculer à la demi-seconde ou au quart de seconde près selon le poids du médicament. Le réglage peut aussi porter sur la hauteur de la chute. »
Les manipulations sont déterminées par des procédures qui vont avec l’installation et que le pharmacien met au point lui-même, c’est de sa responsabilité ; elles se font selon un arbitrage entre l’officine et les maisons de retraite ou les EHPAD.
Près de 40 % du chiffre d’affaires
Médicaments chers : poids lourds de l’activité officinale
Les concentrations continuent
Hygie 31, Giropharm : grandes manœuvres au sein des groupements
Valorisation et transactions en 2023
La pharmacie, le commerce le plus dynamique de France
Gestion de l’officine
Télédéclarez votre chiffre d’affaires avant le 30 juin