En libérant de la follistatine-like 1 (FSTL-1), une glycoprotéine naturelle, un patch en collagène est capable de renouveler les cellules du péricarde, endommagées au cours d’un infarctus.
Selon l’équipe internationale de chercheurs à l’origine de ces travaux publiés dans la revue « Nature », les souris et les cochons sur lesquels ce traitement a été testé ont recouvré une fonction cardiaque quasi-normale au bout de 4 à 8 semaines. Cette approche, qui pourrait donner lieu à des essais cliniques dès 2017, permettrait d’éviter l’insuffisance cardiaque qui résulte de la cicatrisation du tissu. Jusqu’à présent les traitements médicamenteux visent essentiellement à améliorer le rendement de la pompe cardiaque et non à régénérer les tissus cardiaques en post-infarctus.
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