L’ivermectine, en crème à 1 %, vient de démontrer sa supériorité sur le placebo dans les formes pustulopapulaires de rosacée, au terme d’une étude de phase III, qu’il s’agisse du pourcentage de patients débarrassés de leurs lésions (p ‹ 0,01), de la régression des lésions inflammatoires (75 % vs 50 %), de l’estimation par les patients de leur état clinique (p ‹ 0,01) ou de leur qualité de vie. Pour tous les critères étudiés la supériorité de l’ivermectine est significative dès la 4e semaine (p ‹ 0,001) et elle se maintient pendant toute la durée de l’essai. La tolérance cutanée est meilleure avec la crème contenant l’ivermectine.
Linda Stein Gold (Detroit) et al.
3 questions à…
Françoise Amouroux
Cas de comptoir
Les allergies aux pollens
Pharmaco pratique
Les traitements de la sclérose en plaques
Alzheimer : l’immunothérapie ouvre de nouvelles perspectives