Le soulagement constaté augmente durant le premier mois et se maintient ensuite au long cours lors d’applications répétées, sans phénomène d’échappement (suivi sur une durée de 52 semaines). Versatis s’applique directement sur la zone douloureuse à raison d’une à trois compresses maximum simultanément pendant 12 heures consécutives. Du fait de son application locale et du très faible passage systémique de la lidocaïne (3 %), les effets indésirables sont rares et majoritairement cutanés d’intensité légère à modérée. Versatis peut être prescrit d’emblée en monothérapie ou en association avec les traitements oraux. L’évaluation du traitement se fait après deux à quatre semaines puis le patient doit être réévalué régulièrement. Un suivi hospitalier a permis de montrer que Versatis entraîne une diminution significative des traitements antalgiques systémiques, à la fois quantitative et qualitative avec une réduction préférentielle des antidépresseurs tricycliques et des antalgiques des paliers 2 et 3 non justifiés dans la douleur neuropathique.
Un geste facile et bien toléré
Publié le 17/03/2011
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2820
3 questions à…
Françoise Amouroux
Cas de comptoir
Les allergies aux pollens
Pharmaco pratique
Les traitements de la sclérose en plaques
Alzheimer : l’immunothérapie ouvre de nouvelles perspectives