L’étude a été menée chez des jumeaux suivis à partir de 50 ans, en Suède, de 1964 à 2005. Elle montre que le risque de fracture du col du fémur est multiplié par 5 chez ceux ayant eu un AVC et par 4 en cas d’insuffisance cardiaque. Il est bien moins élevé en cas d’artériopathie périphérique ou d’atteinte coronarienne. Ces données ont été établies par rapport à des individus indemnes de toute affection cardio-vasculaire. Les auteurs du travail y voient tout à la fois des causes génétiques et environnementales.
Sennerby U. et coll., JAMA, 21 octobre 2009.
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