À retenir

Publié le 10/01/2013
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- Le développement d’analogues de l’insuline humaine permet de disposer de toute une gamme d’insulines aux propriétés cinétiques profondément modifiées par rapport à l’hormone physiologique.

- Longtemps réservée quasi exclusivement à la prise en charge du diabète de type 1, l’insulinothérapie est de plus en plus employée dans celle du diabète de type 2 évolué.

- L’insulinothérapie doit impérativement prendre le relais des antidiabétiques oraux durant la grossesse.

- Bien qu’il existe de nombreux schémas d’insulinothérapie dans le diabète de type 1, celui qui est privilégié consiste à injecter chaque jour une insuline lente et une insuline rapide (ou très rapide) au moment des trois repas.

- Toujours varier les sites d’injection au sein d’une même zone cutanée.

- Dans le diabète de type 1, le taux d’hémoglobine glyquée ne doit pas dépasser 7 %.

- La fréquence des hypoglycémies doit être minimisée le plus possible, notamment parce que leur crainte est un frein à un contrôle glycémique optimal.


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2972