Ils consistent essentiellement à limiter les aliments hyperuricémiants. Cela permet d'éviter les situations favorisant la fabrication d'acide urique en excès et de prévenir ainsi la goutte chez des personnes à risque. Ces mesures hygiénodiététiques font aussi partie du traitement de fond de la goutte. Cependant, le régime dit hypo-uricémiant fait baisser l'uricémie de manière modeste (1 mg/dl). Il a un faible impact en cas de goutte mais il est néanmoins utile.
Les conseils alimentaires sont-ils suffisamment efficaces ?
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Publié le 15/05/2017
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3351
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