FIN DU SUSPENS et retour à la source. « Je vous propose cinq mots pour résumer les qualités de l’eau thermale d’Avène, déclare le Dr Didier Guerrero, dermatologue : expertise, trajet, impluvium, pérennité, composition. » Explications : après un long parcours sous-terrain de plus de 50 ans dans différentes strates, dont la dolomite, l’eau thermale émerge et se collecte sur l’impluvium d’Avène d’environ 30 km2, constitué à 80 % de forêts, et situé dans le parc naturel du Haut-Languedoc ; un périmètre protégé et parfaitement préservé. Comme toutes les sources artésiennes, cette source est pérenne : elle jaillit naturellement et s’écoule comme un trop plein, elle n’est pas puisée dans des réserves. Sa composition harmonieuse, stable et immuable, sa faible minéralité et la présence de silicates lui confèrent un équilibre et une douceur exceptionnelle. « Depuis la découverte de l’eau thermale d’Avène, nous connaissions toutes ses vertus, elles constituent sa signature minérale, poursuit le dermatologue, mais, guidés par une curiosité scientifique, les chercheurs ont voulu aller plus loin dans la connaissance des mécanismes d’action de cette eau pour mieux comprendre son efficacité sur les peaux atopiques, inflammatoires et prurigineuses. » C’est en analysant sa composition, à la lumière de nouvelles technologies d’investigations très fines, que les équipes de recherche Pierre Fabre, en collaboration avec des équipes de recherche publique, ont découvert la présence de molécules actives dans l’eau. « Visionnaire et précurseur en matière de découverte scientifique, Monsieur Pierre Fabre pressentait que l’eau d’Avène n’avait pas livré tous ses secrets ; dès 1997, on a cherché une trace de vie au-delà de la minéralité de ce réservoir sous-terrain, confie le Pr Lebaron directeur du laboratoire Arago à Banuyls-sur-mer. Après des années de recherche, on a réussi à détecter des traces d’ADN et à décoder le vivant. En 2001, on a identifié une microflore unique et spécifique à l’eau d’Avène, révélant ainsi sa signature biologique. Son intérêt est d’être constante et porteuse d’activité pharmacologique. Ces micro-organismes ont été enfouis dans le sous-sol pendant des millions, voire des milliards d’années, ils participent à l’activité de la roche et de l’eau qui la parcourt, explique le Pr Lebaron. L’enjeu scientifique était de les extraire et de maîtriser leur croissance en les mettant en culture. En 2002-2004, on a isolé cette microflore, baptisée Aqua dolomiae, à l’origine du développement d’un actif biotechnologique unique : I-modulia. »
Une action ciblée sur les démangeaisons.
Conçu à partir de l’identification des fractions les plus actives d’Aqua dolomiae, I-modulia est obtenu sur le site immunologique Pierre Fabre, mondialement connu pour sa production d’anticorps monoclonaux. Associé à la double signature minérale et biologique de l’eau thermale, I-modulia est un actif d’exception breveté Pierre Fabre Cosmétique. Ses propriétés multiples ont été démontrées par des tests pharmacologiques in vitro sur les médiateurs de l’hyperactivité cutanée, des démangeaisons et de l’autodéfense cutanée. Il exerce une puissante action anti-inflammatoire (identique à celle de la dexaméthasone) en diminuant la libération des interleukines 18 (IL-18) ; il relance les peptides antimicrobiens et l’immunité innée et réapprend à la peau à se protéger correctement ; il brise le cycle infernal des démangeaisons en agissant sur un récepteur cutané spécifique. Il est particulièrement indiqué dans la prise en charge des peaux sèches sujettes aux démangeaisons et des peaux atopiques. Il devient le pivot d’une nouvelle génération d’émollients, et les Laboratoires Avène l’ont intégré au cœur des formules de la gamme relipidante XeraCalm A.D, composée d’une crème, d’un baume et d’une huile lavante. Des études cliniques d’envergure ont confirmé une efficacité rapide dès 15 jours d’application, une disparition des sensations de démangeaisons après un mois, une hydratation immédiate et durable pendant 48 heures et une tolérance optimale. Les conditionnements bénéficient de la technologie Cosmétique stérile pour une haute sécurité des formules. « Il a fallu du temps, de la patience et des techniques scientifiques très avancées pour obtenir ce résultat qui dépasse largement ce que nous pouvions imaginer, et nous sommes sûrs que l’Eau thermale d’Avène nous réserve encore d’autres belles surprises », conclut avec optimisme le Dr Guerrero.
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