• Rappeler au patient l’importance de respecter un suivi biologique : phosphatémie à jeun : à l’instauration du traitement, toutes les deux semaines pendant le premier mois, toutes les quatre semaines les deux mois suivants, puis en fonction des besoins.
• Ainsi que d’autres examens de suivi qui doivent être mis en œuvre selon diverses périodicités : échographie rénale (dépistage d’une éventuelle néphrocalcinose), mesure des taux sanguins des phosphatases alcalines, du calcium, de l’hormone parathyroïdienne (PTH), de la créatinine, ainsi que de la calciurie et de la phosphaturie.
Du 23 au 31 décembre
Menace d’une nouvelle fermeture des laboratoires d’analyses médicales
Addictions
La consommation de drogues et d’alcool en baisse chez les jeunes
Crise sanitaire : le malaise des préparateurs
3 questions à…
Christelle Degrelle