- Intervention chirurgicale, surtout du petit bassin (chirurgie pelvienne) et des membres inférieurs (prothèses totales de hanche ou de genou) ; sans prévention, le risque de thrombose veineuse est compris entre 50 et 80 %.
- Grossesse et accouchement : le surrisque se prolonge plusieurs semaines après l’accouchement ; une thrombophlébite complique 3 à 5 % des grossesses.
- Alitement prolongé : de plus de 3 jours.
- Immobilisation des membres, à la suite d’un traumatisme (phlébites sous plâtre).
- Compression veineuse intense ou prolongée, comme lors d’un voyage en avion ou en autocar de plusieurs heures.
- Troubles de la coagulation sanguine : déficits en protéine C, antithrombine, protéine S, anomalies du fibrinogène, cancer…
- Insuffisance veineuse chronique.
- Traumatismes vasculaires : chirurgie, mise en place d’un cathéter, injection de substances irritantes (chimiothérapie).
- Certains traitements hormonaux : contraceptifs oraux renfermant des estrogènes, traitement hormonal substitutif de la ménopause.
- Affections hématologiques : polyglobulies, thrombocytoses, leucémies…
- Certaines affections cardiaques : insuffisance cardiaque.
- Maladies de système : lupus érythémateux disséminé, syndrome de Behçet.
- Âge : l’incidence de thrombose veineuse augmente significativement à partir de 60 ans.
- Antécédents personnels ou familiaux.
- Syndrome des antiphospholipides.
- Insuffisance respiratoire.
- Obésité.
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Françoise Amouroux
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