Le geste consiste en l'ablation de la zone sous-cutanée et cutanée concernée. L'absence de glande dans le nouveau tissu généré lors de la cicatrisation permet d'empêcher, à cet endroit-là, la récidive de la maladie. Mais le geste est très lourd, il doit être précis, réalisé dans les meilleures conditions par un chirurgien expérimenté dans cette maladie. Une simple incision, par exemple, est associée à un taux de récidive de 100 % car elle ne traite que la surinfection, tout en laissant en place la lésion primaire prête à se réactiver dans un délai plus ou moins long.
Comment se pratiquent les opérations de chirurgie ?
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Publié le 20/02/2017
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3327
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