À en croire les retours de quelques utilisatrices, en dehors de son côté pratique, le patch présente tout de même quelques inconvénients.
« On se demande en permanence s’il est bien collé, s’il n’y a pas d’eau qui va rentrer dans les plis. J’ai peur d’aller à la piscine ou de prendre des bains. »
Le patch est facile à poser mais lors de l’application il faut exercer une pression ferme, jusqu’à ce que les bordures adhèrent correctement ; sinon il est conçu pour résister à l’eau et il autorise les bains.
« J’ai peur de ne plus être protégée efficacement si le timbre se décolle un peu. »
En cas de décollement partiel ou total, il faut le remplacer. En effet, tout timbre non collé correctement risque de ne pas délivrer assez d’hormones pour protéger contre les risques de grossesse. Tout décollement de plus de 24 heures équivaut à un oubli de pilule, il convient appliquer un nouveau patch et de recommencer le cycle.
« Le patch me gratte en permanence, c’est insupportable. »
Le dispositif doit être appliqué sur une surface cutanée propre, sèche, saine et intacte. En cas d’éruption cutanée à l’endroit de la pose, il faut changer son emplacement chaque semaine.
« Il est visible lorsqu’on est en sous-vêtements ou en maillot de bains, et au bout de quelques jours le bord devient sale. »
Discrète lorsque vous êtes habillée, la présence du patch peut, en effet, être gênante dans des tenues plus légères. En revanche, pour les partenaires, ce gage de sécurité visible peut les rassurer.
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Françoise Amouroux
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