Les pharmaciens portent un intérêt croissant pour cette nouvelle mission. Un sondage de Call Medi Call réalisé auprès de 1 066 titulaires en septembre 2017, soit avant la signature de l’avenant n° 11, montre que s’ils sont 95 % à se dire prêts à s’investir dans une nouvelle mission, leur premier choix n’est pas le bilan de médication. Celui-ci arrive en 5e position (44,7 % des réponses) derrière la livraison à domicile, la substitution générique, le sevrage tabagique et l’ouverture de dossiers médicaux partagés (DMP), mais devant les entretiens pharmaceutiques et la préparation des doses à administrer (PDA). Un autre sondage en ligne sur « Le Quotidien du pharmacien » du 12 au 23 février derniers montre aussi une certaine frilosité qui serait liée, à lire les commentaires laissés sur le site, à un besoin de formation non encore satisfait. Néanmoins, selon la récente enquête Odoxa/OCP pour « Le Quotidien du pharmacien » et le groupe Ebra, réalisée du 7 au 16 février auprès de 400 titulaires d’officine et un échantillon représentatif de près de 1 000 Français, 90 % des pharmaciens qualifient les bilans partagés de médication de « bonne idée » et 50 % d’entre eux se déclarent déjà engagés dans la démarche. Une « bonne idée » également pour les trois quarts des Français.
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Publié le 12/03/2018
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3418
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