Prévu par la nouvelle convention avec l'assurance-maladie, l’avenant relatif au bilan de médication n’est toujours pas paru au « Journal officiel ». Qu’importe, les officinaux peuvent toujours commencer à recruter les patients, le récapitulatif des accompagnements réalisés n'intervenant qu'en fin d'année, affirme le président de l’Union des syndicats de pharmaciens d’officine (USPO), Gilles Bonnefond (« le Quotidien » du 8 février). Outil de lutte contre l’iatrogénie médicamenteuse, le bilan de médication vise à répondre aux interrogations des patients sur leurs médicaments et leurs effets, à les aider à s’approprier leur traitement, à optimiser les prises de médicament et au final, à améliorer leur observance. Il s’adresse aux patients âgés d’au moins 65 ans présentant au moins une affection de longue durée. Mais aussi aux personnes de plus de 75 ans sous traitement comportant au moins cinq molécules ou principes actifs pendant six mois ou plus. En contrepartie, le pharmacien sera rémunéré 60 euros par patient la première année, 20 euros l’année(s) suivante(s) en cas de continuité de traitement, 30 euros en cas de nouveaux traitements.
Les bilans en pratique
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Publié le 12/02/2018
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3410
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