Il n’y a plus besoin de faire une demande d’accord préalable à l’assurance-maladie pour les initiations de traitement d’ézétimibe.
Après la suppression de l’accord préalable pour la rosuvastatine en juin 2018, c’est au tour de l’ézétimibe d’être concerné.
En effet, une décision publiée au « Journal officiel » du 13 janvier indique que la demande d’accord préalable à la CPAM pour les initiations de traitement d'ézétimibe seul (Ezetrol et génériques), ou associée à de la simvastatine (Inegy et génériques) est supprimée.
Rappelons que l'accord préalable a été instauré en novembre 2014 pour la rosuvastatine et l’ézétimibe. Il imposait aux médecins de faire une démarche d’entente préalable auprès de l’assurance-maladie pour toute initiation de traitement de rosuvastatine ou ézétimibe seul ou associé. Sans l’accord de l’assurance-maladie, ces hypolipémiants ne pouvaient pas être remboursés. Le dispositif visait à abaisser les dépenses de santé concernant ces molécules coûteuses et trop prescrites en regard des recommandations actuelles. Il n’existe donc plus aujourd’hui.
Vaccin antirabique
Rabipur toujours en tension d’approvisionnement
Contraception et prévention des IST
Manix classic : une nouvelle gamme de préservatifs remboursés
À savoir pour bien dispenser
Un nouveau document de référence pour la substitution par un médicament hybride
À savoir pour bien dispenser
Keppra : vérifier la graduation sur la seringue