Au-delà des aspects purement pharmacologiques, les experts de l’ANSM craignent que l’application systématique du principe « tiers payant contre générique » à la délivrance de la buprénorphine, favorise l’augmentation des effets secondaires liés au mésusage. Dans ce contexte, ils tiennent à souligner que ce principe ne s’applique pas à cette molécule, même si certaines caisses ont, un temps, persisté à l’appliquer sans discernement.
Une substitution particulière
Publié le 16/05/2013
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3007
Industrie pharmaceutique
Gilead autorise des génériqueurs à fabriquer du lénacapavir
Dans le Rhône
Des pharmacies collectent pour les Restos du cœur
Substitution par le pharmacien
Biosimilaires : les patients sont prêts, mais…
D’après une enquête d’UFC-Que choisir
Huit médicaments périmés sur dix restent efficaces à 90 %