L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a géré 438 ruptures de stock l’année dernière, selon son rapport d’activité 2014. « Un nombre multiplié par dix en cinq ans », indique l’ANSM, qui explique que cette envolée des signalements de ruptures de stock est notamment due aux « nouvelles stratégies industrielles de rationalisation des coûts de production qui conduisent les laboratoires à produire en flux tendu ».
Par ailleurs, en ce qui concerne le médicament, le rapport recense 2 800 substances actives commercialisées en France, dont 30 % sont génériquées. Autre chiffre clé à retenir : 46 497 effets indésirables ont été déclarés à l’ANSM par les centres régionaux de pharmacovigilance. À l’origine, 67 % de ces effets indésirables ont été déclarés par le médecin spécialiste et 19 % par le pharmacien. Ensuite, c’est le médecin généraliste (7 %) puis le patient (5 %), qui sont à l’origine de ces déclarations. Le pharmacien confirme donc l’importance de son rôle dans le circuit de la pharmacovigilance.
Décision de police sanitaire
Exploitation et publicité suspendues pour un patch prétendant soigner de nombreuses maladies
Ça vient de sortir
Orkambi granulés : un nouveau dosage pour les tout-petits
Prévention des IST
Un nouveau préservatif féminin remboursable
La gemmothérapie, une source d'énergie vitale
La force et la pureté du bourgeon frais