FAUT-IL TRAITER l’acné et laisse-t-elle des cicatrices, telles sont les deux questions fondamentales que se posent les adolescents. Si plus de la moitié d’entre eux sont mal dans leur peau, même en cas d’acné légère, 35 % ne voient pas la nécessité de se soigner et il se passe en moyenne trois ans entre le début de l’acné et la mise en route d’un traitement. Au-delà d’un jugement esthétique négatif, un visage acnéique par rapport à un visage sain se voit attribuer des traits de caractères péjoratifs. Les adolescents acnéiques sont considérés comme plus timides, moins confiants, stressés, seuls et renfermés, moins drôles, voire moins intelligents et moins bien préparés pour l’avenir. « L’acné altère l’image que l’on a de soi et celle que l’on offre aux autres et, chez les jeunes d’aujourd’hui, son retentissement est plus impactant qu’il y a quelques années, souligne le Dr Olivier Revol, pédopsychiatre au CHU de Lyon. Née à l’ère de l’informatique, la jeune génération des 15-30 ans n’a plus les mêmes codes et les mêmes repères, les adolescents réussissent à tout obtenir rapidement et à tout maîtriser d’un cliquement de doigt et Facebook leur impose d’afficher leur meilleur look ; malheureusement les transformations physiopathologiques de l’acné échappent à leur contrôle, et ils doivent se contenter d’agir sur les manifestations visibles. »
L’acné est non seulement une source de souffrance, mais un réel motif d’exclusion, et elle peut compliquer l’adolescence ; le pédopsychiatre compare cette période à « une averse hormonale avec avis de tempête, il convient de laisser passer l’orage mais la prise en charge ne doit pas se faire à la légère ». Dans tous les cas, il est important d’agir tôt et la prise en charge est médicale avec des traitements généraux et/ou locaux selon le type et la sévérité des lésions, et elle doit être assortie de mesures d’hygiène adaptées.
Réguler, apaiser, protéger.
L’expertise Galderma place aujourd’hui le laboratoire comme un des leaders en dermatologie, reconnu comme le plus grand centre de recherche dermatologique du monde. Du médicament de prescription au traitement disponible sans ordonnance, du rétinoïde topique à l’antibiothérapie générale, les Laboratoires Galderma proposent de multiples traitements spécifiques et adaptés aux différents types d’acné. Aujourd’hui, ils présentent la toute nouvelle gamme de dermocosmétique thérapeutique, Cetaphil Dermacontrol, pour accompagner et optimiser l’action des médicaments antiacnéiques, venant enrichir la gamme Cetaphil. Les formules du duo de soins agissent sur les trois étapes de la routine d’hygiène quotidienne, quelle que soit la sévérité des lésions acnéiques. La Mousse nettoyante Dermacontrol contient des actifs hydratants (glycérine et PEG 75), un dérivé de la réglisse (glycyrrhizate) et un complexe de zinc (coceth sulfate et gluconate) qui élimine l’excès de sébum (réduction immédiate de 77 %), elle se rince facilement sans assécher la peau. La Crème hydratante SPF30 Dermacontrol renferme également des agents hydratants et émollients, du zinc et de la silice régulateurs de sébum, des céramides pour reconstituer le ciment lipidique et la barrière cutanée, des composants apaisants (allantoïne et acide glycyrrhétinique) et matifiants, et une protection anti-UVA et UVB.
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