À peine diplômée, la lauréate du prix du jury (Prix de thèse Pharmacien de France-ANEPF) Marion Bigeard affirme sa vocation. Sa profession, elle l'a choisie au fil des années et des rencontres : « J'ai toujours eu cette attirance pour la médecine ; en revanche, de la pharmacie, je ne connaissais rien, si ce n'est l'officine pour y être allée avec mes parents, enfant, récupérer des médicaments. Quand il a fallu faire un choix d'orientation, la longueur des études médicales pour devenir spécialiste m'a effrayée. J'ai exploré les autres professions médicales ».
La suite, on la devine. Sans être le coup de foudre, la pharmacie a séduit la jeune poitevine au point de réussir le concours du premier coup. « Je n'imaginais pas tout ce qui se cachait derrière l'activité officinale, cette richesse de compétences et ce que cela implique en termes de connaissances ». Une sorte d'iceberg, dont on ne voit qu'une petite partie, insuffisante néanmoins pour ancrer définitivement la jeune étudiante dans l'officine : « La filière industrie me tentait. Tout a basculé à partir de la quatrième année, quand j'ai travaillé comme saisonnière dans une pharmacie de Royan. Dans cet environnement où les soins de premiers recours sont majoritaires, l'officine est devenue une évidence et j'ai su que j'y avais une place à prendre. Il fallait trouver des solutions, des réponses rapides et précises. Même dans ce contexte, mes titulaires m'ont toujours enseigné que la priorité était la santé des patients, et non de leur vendre des produits ».
La carrière de Marion Bigeard ne fait que commencer mais elle s'annonce brillante, rassemblant tous les ingrédients de l'épanouissement personnel et professionnel : « Mon objectif est de m'installer, et d'appliquer ma vision de la pharmacie, d'affiner mon exercice et de servir ma profession encore et toujours. Je crois à ce métier à 10 000 % ! ». Mais que c'est bon d'entendre cela, Docteur Bigeard !
La suite, on la devine. Sans être le coup de foudre, la pharmacie a séduit la jeune poitevine au point de réussir le concours du premier coup. « Je n'imaginais pas tout ce qui se cachait derrière l'activité officinale, cette richesse de compétences et ce que cela implique en termes de connaissances ». Une sorte d'iceberg, dont on ne voit qu'une petite partie, insuffisante néanmoins pour ancrer définitivement la jeune étudiante dans l'officine : « La filière industrie me tentait. Tout a basculé à partir de la quatrième année, quand j'ai travaillé comme saisonnière dans une pharmacie de Royan. Dans cet environnement où les soins de premiers recours sont majoritaires, l'officine est devenue une évidence et j'ai su que j'y avais une place à prendre. Il fallait trouver des solutions, des réponses rapides et précises. Même dans ce contexte, mes titulaires m'ont toujours enseigné que la priorité était la santé des patients, et non de leur vendre des produits ».
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