Nous sommes ici en face d’une maladie certes bénigne, mais
qui peut avoir des répercussions psychiques importantes, le patient ayant souvent l’impression d’être considéré comme ayant une consommation d’alcool excessive. Socialement et professionnellement, c’est difficile à vivre. Ce sont surtout les femmes qui sont atteintes, avec un pic au moment de la ménopause, période où l’image de soi peut déjà être altérée. Enfin timidité, mauvais contrôle de soi sont souvent associés à l’image que donne cette maladie.
Les personnes atteintes peuvent bénéficier de traitements médicamenteux, de procédures dermatologiques mais aussi d’une prise en charge dermocosmétique complémentaire pour apporter un meilleur confort cutané et éviter les irritations cutanées fréquentes sur ce type de peau. Le moment de la dispensation des traitements prescrits est opportun pour donner des conseils sur le choix des produits dermocosmétiques. Il est en effet essentiel que ces derniers aient une composition et une texture adaptées pour garantir la meilleure tolérance et une bonne hydratation cutanée : actifs apaisants et décongestionnants, associés éventuellement à un filtre solaire.
3 questions à…
Françoise Amouroux
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