Depuis plus de dix ans, la pharmacie québécoise ne cesse d'évoluer vers davantage de services de santé, inspirant en de nombreux points le modèle français. Le pharmacien québécois détient ainsi le droit de prescription sur les tests, sur les vaccins, pour les renouvellements et le traitement d'urgence, pour le traitement de l’herpès zoster et la grippe, pour une thérapie médicamenteuse déjà prescrite dans le passé ou pour certaines situations (prévention, santé de la femme et de l’enfant, santé en cas de voyage, etc.). Les interventions pharmaceutiques (IP) sont également autorisées. Par ailleurs, le pharmacien dispense tous les médicaments à l'unité, un acte qui ne donne pas lieu à une rémunération spécifique. De même, la livraison à domicile assurée par le pharmacien est gratuite. En revanche, les pharmaciens sont rémunérés à hauteur de 11,90 euros pour la substitution de médicaments biologiques par des biosimilaires. Un rôle qui va s'intensifier car, à partir du 13 avril, les princeps auxquels correspond un biosimilaire ne seront plus pris en charge.
Le modèle québecois
Par
Publié le 21/01/2022
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
M. B.
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien
A la Une
Vaccins grippe : revoyez vos précommandes à la hausse !
Arrêt de commercialisation
Le vaccin antigrippal Efluelda ne reviendra pas en quatrième saison
Projet de loi
Fin de vie : interrogations autour du produit létal dispensé à l’officine
A la Une
Création des groupes de médicaments hybrides : substituez… sans marge