Mybubelly est une application mobile qui a fait couler beaucoup d’encre : elle permet, entre autres choses de choisir le sexe de son futur enfant grâce notamment à un programme diététique adapté. Cela a suscité bien des controverses que Sandra Ifrah, la fondatrice de la société, balaie d’un revers de la main. « Cette méthode existe depuis longtemps, nous l’avons simplement professionnalisée », explique-t-elle. « Elle correspond à un vrai besoin, celui de femmes qui notamment n’ont eu que des filles ou que des garçons, cas de figure assez courant, des femmes qui par ailleurs sont souvent seules à ce moment précis de la pré-conception », précise la dirigeante.
Si Mybubelly se distingue par son régime diététique adapté au choix du sexe de l’enfant, elle se caractérise aussi par une approche originale du cycle de l’ovulation et par un soutien humain que Sandra Ifrah estime indispensable. « Mybubelly n’est pas qu’une application mobile, c’est aussi une aide, un véritable coaching pour aider les femmes dans leur démarche. » De ce fait, l’offre n’est pas gratuite, 149 € par mois sur toute la durée de la méthode, trois à six mois au minimum. Mais avec un taux de réussite qui avoisine les 90 % sur les cent premières femmes qui y ont eu recours, le jeu en vaut peut-être la chandelle. Mybubelly a fait son entrée récemment dans les pharmacies avec des box de compléments alimentaires adaptés selon le sexe de l’enfant souhaité par la mère, les pharmaciens bénéficient d’une commission sur les ventes.
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