Véronique Plougoulen, titulaire de la pharmacie Plougoulen, dans le Finistère a racheté une pharmacie qui avait installé une climatisation réversible il y a 5 ans. Le bilan en est très négatif.
Le constat :
« L’hiver, ce système ne chauffe que le back-office qui est petit, de manière correcte, dès que cet espace est chauffé, il s’éteint simultanément dans toute la pharmacie alors que l’espace client qui est beaucoup plus grand, 150 m2 de surface, n’a pas été chauffé. De plus, l’officine dispose d’une grande ouverture et l’air extérieur entre facilement. Pire, une fois que ce système s’éteint, il diffuse de l’air froid. L’été, il n’apporte rien. »
Les causes :
« Le précédent propriétaire avait fait installer ce système que tous les spécialistes que nous avons fait venir ont jugé mal fait : une mauvaise répartition des bouches de sortie d’air, dont l’une en particulier se trouve en plein milieu de l’espace alors que celui-ci est tout en longueur, des convecteurs minuscules tout à fait inadaptés à la surface de l’officine. Je ne peux jeter la pierre au précédent propriétaire, parce que je n’aurais sans doute pas fait mieux : nous sommes obligés de faire confiance aux prestataires spécialisés. »
Les solutions :
« Il faudrait soit installer ce que les spécialistes appellent un rideau de chaleur près de l’entrée soit casser le faux plafond et installer un nouveau système. Dans les deux cas, cela coûte très cher. Pour l’instant, nous investissons dans des pulls et un chauffage d’appoint qui évidemment augmente très sensiblement notre facture d’électricité. »
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