Une évidence.
« L’automatisation m’a paru évidente dès lors que j’ai agrandi la pharmacie en 2008. Nos tâches se sont considérablement renforcées dans de nombreux domaines et je ne souhaitais pas que l’on perde de temps en back-office. J’ai voulu tout de suite un robot chargeur avec le robot principal, pour ne pas avoir non plus à nous occuper de cette tâche de rangement. Il n’y a que des pharmaciens et préparateurs diplômés dans notre équipe, pas question de perdre du temps avec des tâches subalternes. Par ailleurs, l’intérêt de disposer d’un tel robot rangeur, c’est d’avoir une qualité de rangement impeccable, qui de ce fait réduit le taux d’erreurs possibles. Un mauvais rangement est source d’erreurs de dispensation. Et un rangement automatisé a un impact évident sur la qualité du service délivré au patient. »
Prise en main facile.
« Le robot rangeur écarte toutes les boîtes abîmées que nous renvoyons aussitôt, un robot est fait pour travailler avec des boîtes neuves. Quant aux codes Datamatrix, pour l’instant, le robot n’est pas encore en « full Datamatrix », il peut lire aussi bien les codes barres que les nouveaux codes, mais à cause de cette double lecture, il ne peut lire les dates de péremption réelles, une fois que nous serons en full Datamatrix, il sera plus facile de travailler lot par lot et de mieux gérer les périmés. Le robot aussi bien que le rangeur évoluent régulièrement. La prise en main s’est faite facilement, nous avons désormais les bons réflexes, et ce quel que soit le profil de chacun, même si l’apprentissage se fait différemment. »
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