Deux marchés jusqu'à présent confidentiels s'apprêtent à décoller, du moins économiquement. Celui des biosimilaires tout d'abord, porté par la multiplication des références récemment commercialisées en France. L'année 2018 a vu l'arrivée de nombreuses spécialités d'adalimumab, ainsi qu'un biosimilaire de l'enoxaparine. Mais à ce jour, et bien que cela soit inscrit dans le Code de la Santé publique, leur substitution n'est pas possible à l'officine faute de décret d'application. Pour le GEMME, les biosimilaires constituent un marché à part entière, à dissocier de celui des génériques ou de celui des hybrides. Ces derniers ont fait l'objet d'une disposition dans la LFSS : « selon la LFSS 2019, la substitution des hybrides sera opérationnelle en 2020. L'année 2019 devra être consacrée à l'élaboration des textes d'encadrement et du registre des hybrides ». Trois marchés différents, mais un objectif commun : générer des économies pour l'assurance- maladie.
Trois marchés, un objectif : générer des économies
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Publié le 25/02/2019
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David Paitraud
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3498
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