1. M. S arrive à l’officine en se plaignant d’une douleur intense à la poitrine. Il perd connaissance et ne respire plus. Que faire ?
a) le mettre en PLS ;
b) alerter les secours ;
c) entreprendre une réanimation cardio-pulmonaire.
Réponses : b) et c). La PLS est réservée aux victimes respirant normalement.
2. Mme I. a du mal à respirer. Devant vous, elle vient d'avaler un bonbon de travers. Que faire ?
a) lui donner 5 claques dans le dos ;
b) effectuer la manœuvre d’Heimlich ;
c) l’encourager à tousser.
Réponse : c.) Si Mme I peut parler, il ne s’agit que d’une obstruction partielle. Les claques dans le dos et la manœuvre d’Heimlich sont réservées aux obstructions totales.
3. Mme C est diabétique, traitée par insuline. Elle est pâle, transpire, tremble et se sent faible. Que faire ?
a) l’aider à se resucrer avec 30 grammes de glucides ;
b) recontrôler sa glycémie 15 minutes plus tard ;
c) la mettre en PLS.
Réponse : b). Mme C est consciente, la PLS n’est pas utile. Il faut l’aider à se resucrer avec 15 grammes de glucides et recontrôler sa glycémie 15 minutes plus tard.
4. M. V. s’est renversé une casserole d’eau bouillante sur la main. Sa peau est rouge et de grosses cloques apparaissent. Que faire ?
a) faire couler de l’eau sur la brûlure pendant 15 minutes ;
b) alerter les secours ;
c) lui demander si sa vaccination antitétanique est à jour.
Réponses : a), b) et c). La localisation de la brûlure à la main est un critère de gravité.
5. Melle B. arrive au comptoir en se plaignant de nausées. Soudain, elle pâlit et vous dit qu’elle voit flou et ne vous entend pas bien. Que faire ?
a) l’allonger et surélever ses jambes pendant au moins 10 minutes ;
b) la mettre en PLS ;
c) alerter les secours.
Réponse : a). Tant que Melle B est consciente, il est inutile de la mettre en PLS ou d’alerter les secours.
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