Avec la Leon ST, c’est un break en tenue de soirée que décline Seat, surfant sur le succès de la berline et du coupé. Silhouette efflanquée, volume de coffre imposant (jusqu’à 1 470 l), toit panoramique ouvrant, astucieux système de basculement de la banquette arrière, elle associe élégance, praticité, équipements et qualité à prix attractifs, dès le premier niveau (Référence). Mais tant qu’à faire, autant céder au charme de la finition Style, qui inclut de série l’ESP, 7 airbags, le verrouillage centralisé, les projecteurs full LED couplés aux feux arrière à LED, le pommeau et le levier de vitesses en cuir, le système multimédia couleur avec écran 5 pouces, la climatisation automatique bizone, les quatre vitres et les rétroviseurs électriques, ainsi que l’aide au démarrage en côte. Liste non exhaustive. Avec la navigation incluse dans le package, ce serait parfait.
À l’intérieur, l’ambiance est cosy. Console centrale orientée vers le conducteur, matériaux cossus, sièges enveloppants, boîte à gants de bonne dimension, tablettes type aviation issues du monde du monospace confirment la vocation familiale de ce break (+ 27 cm par rapport à la berline).
L’amortissement piloté, la direction progressive et les fonctions radar figurent également au programme. Grâce à sa structure allégée de 25 kg et à sa plateforme évolutive empruntée à la Golf, la ST réagit avec promptitude aux injonctions du conducteur. Avec elle, voyage rime avec plaisir. Dans la foulée, Seat commercialisera une version quatre roues motrices 4 Drive accouplée aux TDI 105 et 150 ch.
Bon chic bon genre.
La première qualité d’un break est d’être fonctionnel. La Civic Tourer offre quant à elle un volume de chargement impressionnant (jusqu’à 1 668 l), un système de repliement de banquette génial assorti à un double plancher, un cache-bagages à enrouleur facilement logeable une fois démonté, un filet de séparation, des rails de toit, un seuil de chargement bas (565 mm) ainsi qu’un GPS. Que demander de plus ? Un toit en verre fixe ou partiellement ouvrable. Honda a préféré placer son argent ailleurs.
À savoir dans les moteurs : 1,6 diesel 120 ch ou 1,8 l essence 142 ch. Dans ce domaine, la marque japonaise n’a de leçon à recevoir de personne. Hélas, le moteur essence est durement pénalisé. Un malus de 900 euros (1 600 euros avec la boîte automatique) pour avoir le plaisir de rouler en essence, c’est cher payé.
Quel que soit le mode d’énergie choisi, le break Tourer distille du plaisir à la louche dans un environnement sophistiqué. Proposé avec la finition Innova Exclusive, le pack ADAS inclut le système de prévention de la collision, l’alerte de franchissement de ligne, les feux de route actifs (passage code-phares automatique), la surveillance de l’angle mort, la reconnaissance de la signalisation, etc.
La suspension arrière adaptative (niveau Exclusive Navi) est un autre point fort. Confort, normal ou dynamique, au conducteur de choisir en fonction de la charge transportée. Très bon chic bon genre, ce break, facturé 1 100 euros de plus que la berline, recèle bien des trésors. D’autres sont en gestation chez Honda. Parmi eux une Civic Type R 280 ch (2015), une nouvelle génération de Jazz 3 cylindres 1 l turbo essence injection directe, une Jazz hybride dotée d’une boîte double embrayage et un moteur diesel 1,6 l plus puissant, qui mettra fin à la carrière du 2,2 l.
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