Depuis samedi 1er novembre, les médecins doivent demander un accord préalable à la CPAM pour toute initiation de traitement par rosuvastatine (Crestor) ou ézétimibe (ézétimibe seul dans Ezetrol, ou association ézétimibe-simvastatine dans Inegy). Sans cet accord, ces hypolipémiants ne seront plus remboursés.
Par ailleurs, si l’accord est refusé par la CPAM, le médecin doit indiquer la mention « non remboursable » sur l’ordonnance.
Au comptoir de l’officine, rappelons que seules les initiations de traitement sont concernées par cette mesure : la délivrance peut donc se faire classiquement par tiers payant pour tous les patients déjà traités par ces molécules. En revanche, lorsqu’il y a une initiation de traitement, le pharmacien devra faire régler son client si la mention « non remboursable » est indiquée, ou s’il a un doute sur la prise en charge par l’assurance-maladie. Toutefois, en cas de problème (tiers payant effectué pour un accord préalable refusé et non indiqué par le médecin sur l’ordonnance), le pharmacien sera malgré tout remboursé, a indiqué l’assurance-maladie.
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