Les résultats de l'enquête* montrent que pour 95 % des patientes, prendre son traitement à domicile leur confère un sentiment de liberté. Cependant 12 % peuvent avoir des difficultés à contacter leurs professionnels de santé, 17 % ont un sentiment de déconsidération de leur maladie et 11 % se sentent seules face à leur traitement. De leur côté, les pharmaciens considèrent avoir un rôle essentiel de conseil sur les modalités de prise des traitements (96 %). D’ailleurs, les patientes semblent satisfaites du temps accordé par leur pharmacien (66 %).
Les officinaux estiment aussi avoir un rôle clé pour améliorer l’observance et la qualité de vie des patientes (94 %) qui, dans l'ensemble, se sentent bien accompagnées (86 %) et expriment avoir confiance en leur pharmacien de ville (98 %). Ainsi, 88 % se disent à l’aise pour évoquer leur maladie et les traitements avec lui ; les pharmaciens se déclarent quant à eux, sereins pour aborder ces sujets avec elles.
Une majorité de patientes (82 %) sont favorables à ce que le pharmacien partage leurs informations médicales avec l’équipe hospitalière et 45 % estiment qu'il n'est pas assez impliqué dans le lien ville hôpital.
* Enquête réalisée par BVA, avec le soutien de l’association Europa Donna, du 13 juin au 26 octobre 2018 auprès de 147 patientes et 104 pharmaciens d'officine.
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion