Le pré-rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (IGAS), rendu public jeudi par la ministre de la Santé Marisol Touraine, n’identifie pas « les causes exactes » de l’accident. Il reconnaît que le laboratoire chargé des essais cliniques, Biotrial, a bien respecté la réglementation, mais relève « trois manquements majeurs » dans la gestion de la crise.
D’abord, « le laboratoire ne s’est pas suffisamment tenu informé de l’état de santé du premier volontaire hospitalisé » le 10 janvier et a procédé le lendemain matin « à une nouvelle administration de la molécule chez les autres volontaires » avant d’interrompre l’essai l’après-midi.
Il lui est également reproché de ne pas avoir informé les autres volontaires de l’événement survenu la veille et donc de ne pas avoir obtenu de leur part un consentement éclairé à la poursuite de l’essai clinique.
L’absence de signalement immédiat à l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), informée le 14 janvier, constitue le troisième manquement majeur.
Essai clinique de Rennes
Pas de cause identifiée mais trois manquements majeurs
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Publié le 08/02/2016
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3238
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