Depuis plusieurs mois, l’assurance-maladie suit de près les médecins qui inscrivent un peu trop facilement la mention « non substituable » sur leurs ordonnances. Des pénalités financières sont même prévues pour ceux qui empêchent systématiquement la substitution générique. C’est la sanction que pourrait se voir infliger un généraliste de l’Oise, le Dr Alain Daboul, sommé par sa caisse primaire de justifier pas moins de 930 prescriptions estampillées NS. Depuis plusieurs années, il prescrit très régulièrement en non substituable, selon lui dans l’intérêt de ses patients. « Vis-à-vis de certaines personnes âgées, je préfère prescrire des princeps », explique-t-il, affirmant que les pharmaciens substituant en fonction des produits dont ils disposent en stock, ses patients ne se feraient jamais délivrer la même boîte. Il lui faudra convaincre la CPAM de l’Oise qui lui demande aujourd’hui des explications précises.
« NS » : un médecin sommé de justifier 930 de ses prescriptions
Publié le 03/11/2014
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L'abus de NS dans le viseur de l'assurance maladie.
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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