C'était il y a 18 mois. Il avait 20 ans. Un soir de février, ce brillant étudiant en 2e année de pharmacie à l'université de Montréal (UdeM) avait décidé de sortir en ville avec ses copains. Au petit matin, il était mort.
L'excès de consommation est alors invoqué, mais on ne sait pas encore de quoi… L'enquête de police qui vient de s'achever indique désormais clairement les causes de ce décès prématuré. Ce fameux soir de février, le jeune homme a mélangé des substances à du jus, en expliquant à ses copains « que cela l’aiderait à se relaxer ». Ses amis « confiants dans ses compétences en pharmacologie, l'ont laissé faire », écrit le rapport de police. Les analyses toxicologiques réalisées après sa mort ont révélé la présence de cocaïne, d’antidépresseurs et d’opioïdes.
Le fait est avéré, les étudiants en pharmacie (et en médecine) sont plus enclins que d’autres à s’automédicamenter, et pas seulement parce qu’ils ont plus facilement accès aux médicaments. Mais les prévient-on assez de ce risque durant leurs études ?
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