D’après l’étude BVA, 86 % des médecins généralistes disent ne pas être d’accord avec l’idée que « lorsqu’on a une lombalgie on ne peut pas travailler », mais presque tous (99 %) déclarent avoir prescrit des arrêts de travail pendant l’année pour des lombalgies. Une attitude qui n’est peut-être pas tellement accordée à ce qu’attendent en fait les patients. Ces derniers souhaitent d’abord la prescription d’analgésiques pour soulager la douleur, un diagnostic précis, et des explications sur les causes de la douleur. Et leur attente d’un arrêt de travail vient seulement en 11e position. Alors que les médecins estiment qu’un patient qui consulte pour une lombalgie attend d’abord la prescription d’analgésiques et en deuxième position un arrêt de travail. Pour le Pr Lyon-Caen, l’un des objectifs de cette campagne est de « permettre de mieux cerner les indications de l’arrêt de travail, mais aussi de faire attention à leur durée : l’arrêt de l’activité physique conduisant à une vulnérabilité accrue par la suite ». Toutefois, insiste-t-il, « il ne s’agit pas de nier l’importance de cette question, et il existe des cas où on ne peut pas du tout diminuer les arrêts de travail (en cas de travail de force, manuel) ».
Mieux cerner les arrêts
Publié le 27/11/2017
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3392
Insolite
Épiler ou pas ?
La Pharmacie du Marché
Un comportement suspect
La Pharmacie du Marché
Le temps de la solidarité
Insolite
Rouge à lèvres d'occasion