SE SENTIR heureux, serein, plein d’énergie, tout le monde aspire à atteindre et à conserver cet état de bien-être. Les résultats de l’étude IFOP pour UPSA révèlent que pour un Français sur trois le plus important pour parvenir à cet état, c’est d’être en bonne santé, d’avoir un bon équilibre vie professionnelle/vie privée (29 %) et de se sentir bien dans sa peau (23 %). « Il est frappant de constater la primauté accordée à la question de la bonne santé dans la définition du bien-être, elle est l’élément le plus important pour la majorité des plus de 65 ans. Sans doute exprime-t-elle un besoin de sécurité, à l’heure où les messages anxiogènes sur ce sujet ne cessent de se multiplier », commente Damien Philippot, directeur d’Études à l’IFOP. Nul doute aussi que le contexte de la crise et le poids croissant joué par les considérations d’ordre économique et social, témoignent de la volonté d’une partie importante des Français de pouvoir faire une séparation entre leur vie professionnelle et l’intimité de leur vie familiale.
Pour 69 % des sujets interrogés, le bien-être est autant une question d’ordre physique qu’émotionnel, ce concept dual est davantage ressenti par les femmes (75 %) et les personnes plus âgées (79 %) que par les hommes, qui sont davantage axés sur le concept émotionnel. Parmi les facteurs constitutifs de la fatigue émotionnelle et/ou physique figurent, pour deux Français sur cinq, le contexte de crise (risque du chômage, baisse de pouvoir d’achat, etc.) et l’intensité du mode de vie ; la multiplicité des taches quotidiennes est une plainte surtout exprimée par les femmes (40 %), alors que le manque de repos n’intervient que pour 35 % dans les citations ; seulement 6 % pensent qu’une carence en magnésium contribue à un état de fatigue.
En cas de grande fatigue, trois quarts des personnes interrogées avouent une plus grande irritabilité, un manque d’envie de pratiquer une activité physique ; plus de la moitié à tendance à s’isoler aussi bien socialement que vis-à-vis de l’environnement (lumière, bruit), le temps nécessaire pour se ressourcer ; à peine plus d’un tiers admet manger davantage. Logiquement, la solution adoptée par plus de la moitié des Français pour en finir avec la fatigue nerveuse et le stress est de dormir davantage, d’autres préfèrent hiberner chez eux (24 %) ou pratiquer une activité physique (23 %) ; moins nombreux sont ceux qui pensent à prendre des congés (17 %), à faire une cure de magnésium (14 %), ou encore à aller voir un médecin (12 %) ou demander conseil au pharmacien (4 %).
De petites quantités en continu.
Le magnésium est un minéral multifonctions qui intervient dans plus de 300 réactions enzymatiques. Le corps humain en contient environ 25 g, dont plus de la moitié est stockée dans les os où il participe à la fixation du calcium, 25 % sont utilisés par les muscles pour réguler la contraction musculaire. « Il agit à plusieurs niveaux en régulant l’influx nerveux, c’est un produit de rééquilibre de l’humeur générale : il calme les anxieux et stimule les calmes, remarque le Dr Pierre Azam, médecin nutritionniste à Paris. L’organisme n’est pas capable de le produire et ne dispose pas de réserve, son unique source d’approvisionnement provient de l’alimentation. Il est difficile pour les Français d’imaginer que leur état de santé puisse être conditionné par une carence en cet élément, son déficit ne se mesure pas par un bilan biologique sanguin, seul un diagnostic clinique peut le révéler. »
Pour les personnes interrogées, les signes avant-coureurs qui doivent alerter sont, outre la fatigue, des crampes (41 %), de l’anxiété et du stress (20 %). Près de neuf personnes sur dix pensent qu’une alimentation déséquilibrée ne contenant pas assez de légumes ni de fruits secs peut en être à l’origine ; 79 % citent un régime restrictif excessif et 71 % un excès de stress et de nervosité lié à la pression sociale. Pour couvrir les besoins quotidiens, une supplémentation est parfois nécessaire mais les apports doivent tenir compte de la solubilité et de la biodisponibilité du sel (le chlorure de magnésium étant la référence), ainsi que du mode d’administration.
« Le magnésium est absorbé essentiellement au niveau de l’intestin grêle mais son absorption est limitée et saturable, explique le Dr Jean-Yves Milon, médecin de recherche clinique UPSA. De faibles quantités ont un taux d’absorption plus important, et plus on fractionne les prises plus le magnésium est retenu par l’organisme. Il faut donc privilégier un faible apport en continu, adapté au mécanisme physiologique. » L’originalité du Magnésium UPSA Action Continue réside dans sa galénique bicouche brevetée. Elle permet une délivrance progressive et prolongée pendant huit heures de petites quantités, au plus proche des besoins naturels du corps. « C’est une opportunité de plus pour les pharmaciens pour conforter leur rôle de conseil auprès d’un public, pas suffisamment averti des conséquences d’un déficit en magnésium, en lui apportant une couverture optimisée de ses besoins », affirme Stéphane Delouya, pharmacien d’officine à Paris.
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