Ce projet est loin de satisfaire les répartiteurs (voir « le Quotidien » du 16 février). En effet, pour la Chambre syndicale de la répartition pharmaceutique (CSRP), dire que « les ruptures d’approvisionnement seraient la conséquence des exportations auxquelles se livrent les répartiteurs pharmaceutiques » est « une approche réductrice » qui « conduit les pouvoirs publics à envisager d’interdire l’exportation de médicaments, en contradiction avec le droit européen ». De même, la CSRP s’oppose à l’idée de créer un circuit d’approvisionnement direct auprès des fabricants en cas de rupture prolongée. En effet, pour elle, cette décision est quelque peu incohérente. « Soit le laboratoire dispose du produit et, dans ce cas, il doit livrer le répartiteur. Soit il ne dispose pas du produit dans ses stocks et, en tout état de cause, il ne pourra le livrer à l’officine », argumente-t-elle.
Les répartiteurs vent debout contre le texte
Publié le 20/02/2012
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2899
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