- Des pathologies diversifiées peuvent affecter la cavité buccale : infections, inflammations, effets iatrogènes, etc. Même bénignes, ces maladies sont parfois handicapantes.
- Les signes d’appel se réduisent souvent à l’apparition de lésions colorées (blanches, rouges, pigmentées) et d’une douleur plus ou moins vive.
- Les aphtes, douloureux, disparaissent en 10 à 15 jours, et le traitement doit rester l’exception.
- La candidose buccale, fréquente chez le nourrisson ou le sujet âgé, peut traduire une immunodéficience. Elle réagit bien aux antimycosiques locaux.
- Le lichen buccal se présente sous une forme quiescente mais aussi sous une forme érosive douloureuse. Il est traité en général par une corticothérapie locale.
- La mucite est une conséquence iatrogène d’un traitement par chimio- ou radiothérapie. Très invalidante, elle requiert une prise en charge spécialisée impliquant l’administration d’antalgiques puissants et nécessite surtout d’être autant que possible prévenue.
- La sécheresse buccale (xérostomie) a une origine iatrogène lorsqu’elle n’est pas associée au vieillissement. Pouvant induire des troubles de la déglutition, elle peut nécessiter une suppléance salivaire ou un traitement médicamenteux, mais ses conséquences sont souvent réduites par des interventions non médicamenteuses.
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