Elles concernent le traitement de la crise de goutte et optent pour les corticoïdes en première ligne, alors que les experts européens restent prudents vis-à-vis de cette classe d'anti-inflammatoires dans la mesure où les goutteux sont souvent hypertendus et diabétiques et qu'il existe un risque de corticodépendance à long terme. Ils sont également en désaccord avec les recommandations américaines de l'ACP qui se prononcent contre le traitement hypo-uricémiant au long cours. Les divergences portent aussi sur le niveau de seuil de solubilité de l'urate à cibler. (Voir le « Quotidien du pharmacien » du 7 novembre 2016).
* American college of physicians (ACP)
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