Et si aujourd’hui vous décidiez de franchir le pas. Ou bien vous faites partie des pharmaciens qui ont déjà réalisé des bilans partagés de médication (BPM). Dans tous les cas, vous avez envie d’aller plus loin dans cette activité, même si sa réalisation est parfois compliquée.
Depuis le décret publié en 2018, les pharmaciens ont la possibilité de proposer des BPM. Cette nouvelle activité cible plus particulièrement des patients à risque. La réalisation de ces entretiens doit permettre de lutter contre la iatrogénie médicamenteuse encore trop présente en France.
Mais, il faut l’avouer, passé l'enthousiasme du début, les choses sont un peu plus compliquées dans la réalité du bureau de consultation. Car pour respecter le processus, le pharmacien doit suivre une méthodologie précise. Édité par la Haute Autorité de santé (HAS), un guide décrit les différentes étapes du parcours du patient. Et une fois le BPM réalisé, le pharmacien doit encore transmettre ces informations à l’assurance-maladie. La déclaration sur le portail Ameli permet la rémunération de cette activité.
Tout cela est, au final, contraignant et chronophage pour beaucoup de pharmaciens qui hésitent encore à s’engager dans ce dispositif.
Et pourtant, une solution technique existe pour accompagner les professionnels de la pharmacie. Il s’agit de la plateforme BIMEDOC et de son module de bilan partagé de médication.
Simplification et gain de temps
L’utilisation et l’ergonomie ont été pensées pour simplifier l’expérience utilisateur. Une fois identifié, vous pouvez commencer à proposer des BMP à vos patients. Lors des entretiens, vous avez juste à remplir les items au fur et à mesure. Le dossier du patient créé se complète alors automatiquement. Rassurez-vous, la trame à suivre reprend les catégories imposées par le guide de la HAS.
Quelques pharmaciens sont déjà utilisateurs de cette solution, comme Éric Ruspini. Titulaire installé en Lorraine, il trouve en BIMEDOC le support idéal pour les bilans partagés. Pour lui, la solution apporte un gain de temps non négligeable. En plus, toutes les informations sont enregistrées en ligne ce qui permet de plus avoir recours aux papiers. Le pharmacien garde par ailleurs la main sur ses données patients. Il reste également libre de l’interprétation de certains résultats lors de l’analyse des traitements (étape numéro 2 du processus). Une évolution, pour notre acteur de terrain, serait de faciliter l’interopérabilité avec les logiciels des officines.
C’est un point sur lequel Pierre Renaudin, le concepteur de BIMEDOC, travaille déjà. Ce pharmacien clinicien « un peu geek » s’est lancé dans cette aventure il y a quelques années. Son défi est simple : permettre aux officinaux de réaliser simplement les nouvelles activités de la profession.
Donc, que vous soyez novice ou expérimenté, vous pouvez maintenant tester BIMEDOC lors de vos BPM. Et peut-être franchirez-vous le cap en l’adoptant dans votre officine.
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