L’allergie alimentaire constitue un important problème de santé publique dans tous les pays, avec une fréquence élevée : 6 % à 10 % en population pédiatrique, 4 % de la population générale. Elle est en constante augmentation, sans doute liée à l’ingestion d’aliments de plus en plus variés et aux manipulations technologiques effectuées dans l’industrie agroalimentaire. Elle constitue la première manifestation pathologique du sujet atopique et doit donc être dépistée précocement. C’est l’un des messages essentiels que nous devons faire passer à l’officine.
Quelques idées reçues persistent dans la population. Ainsi, il n’y a pas de certitude d’un rôle protecteur de l’allaitement vis-à-vis des allergies alimentaires. Certes, le lait maternel participe à l’immunité. Mais il concentre aussi des substances chimiques bien indésirables…
Par contre, il est reconnu que certains enfants manifestent plus aisément des allergies alimentaires, par exemple, les enfants caucasiens nés à l’automne (rôle d’un déficit en vitamine D ?), les enfants nés par césarienne de mère atopique (ils naissent avec un intestin « stérile » situation différente de celle d’enfants nés par voie basse).
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