Les compléments à base de plantes laxatives ne sont pas les seuls à poser problème. Depuis la mise en place de la nutrivigilance en 2009, plusieurs signalements d’effets indésirables ont été rapportés à l’Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses).
Notamment, avec des produits à visée « minceur » renfermant de la p-synéphrine (substance présente dans l’écorce d’orange amère), qui ont provoqué des atteintes hépatiques, cardiovasculaires ou neurologiques (18 signalements). Ou encore des compléments à base de levure de riz rouge, utilisés afin de « maintenir une cholestérolémie normale », responsables d'atteintes musculaires et hépatiques (25 signalements). Des cas ont également été notifiés avec la spiruline (troubles digestifs, allergies, atteintes musculaires ou hépatiques). Autre exemple récent : en août 2018, un cas d’hypokaliémie sévère a été rapporté chez une femme ayant consommé de façon abusive (par poignées) des compléments alimentaires à base de réglisse et de rhubarbe. En dehors des plantes, 90 déclarations d’effets indésirables ont été rapportées avec des produits à base de mélatonine, avec des symptômes variés (céphalées, nausées, tremblements, douleurs abdominales…).
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