Dans les périodes où le marché immobilier se tend et où l’on regarde de près les chiffres publiés, force est de constater qu’une certaine cacophonie règne et que les statistiques se contredisent. Car si le marché du neuf bénéficie de résultats trimestriels, le marché de l’ancien ne dispose pas de statistiques publiques et précises. Et aucun des indices publiés n’est parfait, même si celui des notaires, validé par l’Insee, est considéré comme le plus significatif.
Indice des notaires : couvre environ 60 % du marché national mais les prix ont une demi-année de
retard (les notaires viennent de publier mi-septembre les prix correspondant aux actes notariés enregistrés au 2e trimestre 2009, donc d’avril à juin 2009, ce qui correspond aux promesses signées de janvier à mars 2009).
Fnaim (Fédération nationale de l’immobilier) : données réactives mais qui ne représentent que 10 à 20 % du marché seulement. Elles ne peuvent être lues que comme des tendances, sachant qu’en période de chute des transactions elles perdent encore plus de leur significativité.
Century 21 : données réactives mais qui ne représentent que 7 à 8 % du marché seulement.
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